Genesis

Genesis Iruama a écrit:

• Une suggestion ? il faudrai plus surveillé le niveau d'orthographe des autre car ils save pas écrire pour certain

Fuh fuh ... Même avant "bienvenue", je fais la remarque.. Assez drôle en passant. En effet il y'en a qui ont quelques petits problèmes d'écriture, mais au moins ils font l'effort de s'appliquer eux..

Bref, bienvenue à toi sur ce forum qui comme tu l'aurais remarqué n'est pas la réplique de WOW, mais il fait l'affaire, on s'y amuse bien quant on s'y investit . Comme l'a dit Kama, y'a pas mal de truc à refaire, pour ne pas dire tout. Ca serait cool aussi que tu ne nous prennes pas pour des zozos en faisant celui qui ne sait pas écrire. Un truc aussi flagrant ne peut pas nous laisser indifférent. J'espère que tu n'es pas là pour te moquer de nous, car si c'est le cas je ne pense pas que tu feras long feu. Nous sommes ici pour nous amuser, tout en respectant le forum et de ce fait les membres. Et pour commencer, il faut lire les règles ET les respecter.

Sur ce, bon courage pour la suite..

Votre admirable et formidable, TaTa Nionio (Fuh Fuh..~)

Première partie

• Avez-vous lu les règles ? Code : validé par Millia ♥
• Comment avez-vous découvert le forum ? Secret
• Une suggestion ? Pas vraiment
• Simple curiosité, si vous aviez un Fruit du Démon, lequel aimeriez-vous avoir ? Bien-sûr, vous n’êtes pas obligé d’en vouloir un…

Bonne question

Seconde partie : le personnage.


• Nom et Prénom : Genesis Iruama
• Âge : 29 ans
• Rang/Grade :
• Métier(s) :
• Arme(s) :
• Équipage :

• Description :
Insérez votre description ici.

Comment ça description physique ? Quoi de plus indiscrets que de s’intéresser à ce genre de détail absurde et vide d’intérêt ? Mes lecteurs, mes correcteurs, mes juges ne seraient-ils pas ce que l’on appelle communément dans ce monde pathétique une bande de gros pervers ? A moins que ce ne soit là une preuve incontestable d’une passion remarquable vis-à-vis de ces genre d’ouvrages ennuyeux nécessitant d’avoir en sa possession l’art ainsi que le talent de savoir décrire d’une manière des plus précises possible les objets, les maisons, les paysages bien que j’en doute fortement. Après tout, prenez vous du plaisir à lire les œuvres de Zola ? En bref, assumez votre perversité très chers lecteurs adorés. Enfin bon, je ne vais pas non plus chipoter sur cette insignifiante broutille, c’est donc avec un enthousiasme peu significatif que je plonge dans ces formalités peu motivantes. Bon et bien de ce que l’on peut dire sur Genesis, c’est qu’il est tout sauf un bel homme, un mannequin, un dieu de la beauté, je doute que beaucoup ne partageront pas le même avis, à moins de n’être mentalement dérangé ...

D’une corpulence moyenne avec une taille n’excédant pas les 180 cm, l’on pourrait à priori penser que ce bonhomme est un passe partout, un invisible, un simple humain. Cependant, il est naturel qu’il n’en soit rien au vue de son visage aux traits de psychopathe nettement marqués inspirant généralement un mécanisme étonnant chez ses interlocuteurs consistant à la mise en avant de la méfiance, de la crainte, du dégoût. Observez donc ce regard perçant, fourbe, malsain déguisé de quelques rides malveillantes amplifiant davantage les préjugés à son égard au sein de la communauté actuelle. Cette prunelle de couleur noir, sombre, obscur fixant le gibier d’un air menaçant le rapprochant subitement de ce prédateur vorace qu’est le serpent. Sans compter ce sourire hypocrite feignant la sympathie pour mieux déstabiliser ses malheureuses cibles qui dans la plupart des cas deviennent la source de son bonheur égoïste à l’instant même ou cette vie malchanceuse rend son dernier souffle. Sa chevelure sombre se présentant sous la forme d’une longue queue de cheval raide bien peignée avec une mèche rebelle traversant le visage dans sa longueur. Sa peau pâle voir légèrement jaunâtre inspirera étrangement un air davantage mauvais au personnage se dévoilant sans nul doute possible bien plus pourri à l’intérieur de sa carapace intimidante.

Pour ce qui est du style vestimentaire, de ce bout de tissu ne servant qu’à ne pas se présenter nue en présence de congénères, ce psychopathe finis aura généralement pour habitude de se vêtir d’un long manteau sur mesure de couleur blanchâtre témoignant d’un faux sentiment de pureté, de naïveté, de gentillesse. La matière de ce vêtement se trouvant être de très bonne qualité et donc d’un prix incontestablement très élevé bien que rien ne prouve qu’il ait véritablement été acheté de manière légale ou pire encore, volé à un propriétaire, à un vendeur, à un homme de politique. Un chapeau tout aussi blanc venant tenir compagnie au crâne du sadique, celui-ci se voit être un objet bien pratique notamment lors des périodes de pluies lui permettant de garder la tête à l’abri de toute humidité qu’importe la situation. Quoi de plus agréable d’avoir le centre de commandement du corps dans un état de sécheresse constante ? Après pour ce qui est du pantalon, il entretient un tissu de la même couleur, de la même structure, de la même matière que le reste de sa panoplie lui attribuant un certain style lui donnant un faux air de richard. Le dernier détail marquant pourrait être cette cravate non tout aussi blanche que le reste de son accoutrement mais cette fois bel et bien rouge ! Aussi n’étant pas ce que l’on surnomme pour une raison inconnue un parfait clochard, ce personnage se vêtira selon son humeur de toutes autre sortes d’habits bien que cette panoplie ridicule soit aux premiers abords sa préférée. Voilà tout ce qu’il y a à dire sur son apparence presque banale.


Sa description psychologique ? Quoi ? Certaines rumeurs sous entendent qu’il serait un fou ? Foutaise ! Non non, il est bien plus que ça voyons ! Cessez donc de le rabaissez de la sorte ! C’est vexant, vous ne savez pas à quel point … Après tout, il fait parti de cette rare catégorie d’individus ne se conformant à aucunes valeurs ni normes instaurées par la société actuel qui pour lui ne rien de plus qu’un ramassis de bouts de viandes périmés ne valant pas même la peine qu’il ne s’attarde à faire l’effort de les prendre un minimum en considération. Indépendant de lui-même, il suit ses propres principes, pour lui, il a toujours raison tandis que les autres ont toujours torts. Cette façon de voir les choses font donc de lui quelqu’un de totalement narcissique et nombriliste … Et encore … C’est peu de le dire. Aussi, refusant systématiquement toutes relations avec une quelconque forme de vie de race humaine, en bon misanthrope qui se respecte, il éprouvera à l’égard de son entourage un profond mépris se traduisant par une quête passionnée visant à rabaisser, à ridiculiser, à humilier quiconque se trouvant sur son passage.

Restant néanmoins un personnage manipulateur ainsi qu’inévitablement calculateur, il va de soit qu’il fera attention à mesurer ses paroles dans le cas ou il se voit confronté à un individu hiérarchiquement supérieur à lui bien qu’il ne puisse malheureusement voiler son arrogance sous son visage hypocrite. Victime de schizophrénie et de tout un éventail d’autres maladies psychiatriques, il pourra parfaitement se comporter à un moment comme un protagoniste absolument normal, civilisé, poli, bienveillant comme il pourra dans la minute qui suit devenir un fou, un malade, un psychopathe dangereux s’empalant le bras avec un couteau juste pour ne pas commettre de meurtre bien que dans la plupart des cas, cette mesure quelque peu extrême ne soit pas suffisante pour supprimer ni même apaiser son cruel courroux divin.

Il aime avoir raison, donner tort à ses interlocuteurs, être supérieur à tout, toujours avoir le contrôle sur autrui, ridiculiser ses congénères, fumer, boire, être désagréable, détestable … Bref, il aime sa nature de gros connard prétentieux, narcissique, nombriliste, hypocrite, sadique et j’en passe … Entre autre, son plat préféré ne sont autres que les sushis, sa couleur préféré est le rouge ce qui peut se révéler étonnant, n'est ce pas ? Ses chiffres fétiches sont le 3 et le 8, entre hamac et carton usagé il a une légère préférence pour le carton usagé ... Allez savoir pourquoi ... Si vous lui demandiez une description de la plus belle mort imaginable, il vous répondrait que la plus belle manière de trépasser serait d’emporter avec soit le plus de victimes possible dans un bain de sang des plus remarquables tout en conservant un rire explosif jusqu’à la toute fin. Après pour ce qui est de la nature de celle-ci, le mieux serait de voir son corps réduit en l’espace de quelques fractions de secondes à l’état de cendre après avoir rempli le job de « bombe humaine » même si cette façon de mourir est concurrencé par une autre méthode visant à vider son corps de l’intégralité de son sang. Il déteste ses collègues, ses supérieurs, ses congénères, (bien que pour le moment il en soit dépourvu)… Tout ce qui a un rapport avec la société lui donne la nausée … Son allergie équivaut à l’éthique humaine … Il déteste également d’être pris de haut, d’être contredit … Il ne peut s’empêcher de prendre pour cible tout ce qui peut se montrer mignon, tendre, chou tel les petits chiots, les mignons chatons, les jolis rongeurs … D’ailleurs mieux vaux que vous ne sachiez pas ce qu’il en fait de ces pauvres bestioles, cela pourrait être néfaste pour son image bien qu’au fond il s’en fout littéralement … Au final mesurez vous à lui et vous écourterez par la même occasion votre piètre espérance de vie.


Aussi il a en sa possession un moyen presque infaillible d’obtenir ce qu’il veut de ses prochains sans non plus ne risquer d’être la source d’une panique général d’ampleur dérangeante. Mais alors, quel est donc son secret, sa botte secrète ? Lettres de menaces ? Prises d’otages ? Tortures psychologiques ? Étrangement, aucuns comportements ne se conformant point aux lois dictées par l’état n’ont obligatoirement besoin d’être utilisés pour l’aider à parvenir à ses fins. C’est juste qu’ayant au minimum conscience de sa façon de penser plutôt unique en son genre, il est tout à fait capable de se comporter de manière à se faire passer pour un individu normal. De nature irrévocablement sadique, la simple vue de sang suffira à animer en lui des pulsions se basant sur le meurtre, l’euphorie, l’extase se traduisant généralement par un large sourire peu rassurant ainsi que d’un comportement … Tellement imprévisible qu’il en est indescriptible … Il est un personnage plutôt incompréhensible. Tantôt il peut être calme, posé, humain, tantôt il peut être taré, handicapé, dangereux, tantôt il peut être dépressif, mélancolique, pessimiste … Un caractère bien contradictoire faisant presque de lui un individu intéressant et je dis bien « presque ». Les personnes ayant le plus de chances de lui faire attraper le mouche étant dans la plupart des cas des gens tout à faits normaux et raisonnés … Après, son caractère allant au-delà de la compréhension humaine, il serait difficile d’en dire davantage … Je risquerais de choquer les âmes sensibles que vous êtes.


• Histoire :
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Il était une fois … Non ça sonne trop conte de fée … Il fut un temps … Non ça sonne trop légende … Jadis … Non ça sonne trop épopée … Aucunes de toutes ces expressions n’est adaptable pour conter l’histoire d’un personnage de son envergure. Ses origines se situant dans le plus grand océan au monde à savoir grand line lui-même, l’héros de cette histoire quitta son statut d’embryon insignifiant pour n’ensuite débarquer après quelques interminables mois dans une île paradisiaque se trouvant presque être l’incarnation de l’abondance elle même. N’étant à cette époque uniquement armé de cris assourdissants, cette chose humanoïde eut l’immense chance de naître dans une famille de catégorie modeste constituée de gens bons, de gens honnêtes, de gens justes. Grandissant dans un environnement paisible, calme, serein, se voyant bénéficier d’une éducation admirable, respectable, enviable ce jeune garçon nommé Genesis par ses parents ne s’aligna malheureusement point à la hauteur des exigences de ceux-ci. En effet, d’une nature quelque peu alarmante, sa différence extravagante fut récompensée de l’indifférence débordante de son entourage à l’égard de sa très jeune personne. Ba quoi ? Qui avait-il de mal ou d’anormal à égorger des petites bêtes tel que les oiseaux, les chatons, les chiots pour après répandre leurs organes un petit peu partout sur son passage ? Qui avait-il de mal ou d’anormal à collectionner les cœurs, les cerveaux, les intestins de ses objets de dissections ? Qui avait-il de mal ou d’anormal à apprécier, à sourire, à rire au devant d’un spectacle représentatif d’une scène mettant en évidence la mort d’un être vivant ?

Aillant la coupe déjà pleine, il est naturel que des adultes comme les habitants du village, comme les membres de sa famille, comme vous êtes déjà munis de la réponse idéal à toute ces questions facilement qualifiables de barbares, d’inconditionnelles, de criminelles. Mais pour un gamin d’à peine neuf ans … N’est-il pas naturel de ne point comprendre les valeurs, les normes, les opinions de ses ainés ? Comment un jeunot venant tout juste d’apprendre à faire tout seul ses besoins peut-il comprendre l’étrangeté de son point de vue, de ses comportements, de ses réactions ? Quoi de plus naturel dans ce cas que de se trouver dans l’incompréhension la plus totale vis-à-vis des agissements des autres à son égard ? Etre ainsi rejeté des siens sans ne comprendre pourquoi n’a vraiment rien de drôle surtout lorsque l’on arrive à un âge ou l’affection d’autrui est presque vital. Vivant dans la solitude la plus complète, rien ni personne ne pouvait à présent le stopper dans son évolution de parfait psychopathe.

Devenant lentement mais surement ce que l’on appelle un misanthrope, le mépris qu’il portait quant à l’humanité entière se fit de plus en plus intense jusqu’à ce qu’un beau jour, à l’anniversaire de ses dix ans, jour qui bien évidemment ne comportait aucunes différences avec les autres jours, l’inimaginable se produisit... A une heure ou la plupart des humains étaient dans les bras de Morphée, Genesis qui lui se présentait encore une fois à l’écart de la population entendit comme une alarme assourdissante résonner dans l’intégralité de l’île. Que se passait-il ? C’était bien la première fois qu’il entendait un tel bouquant dans son enfer … Si seulement il n’y avait que ça, mais des bruits de métaux se fracassant entre eux firent alors apparition au loin du côté des rivages. Ce bruit qui était suivit d’explosions, d’hurlements ainsi que de gloussements semblait se rapprocher vaguement de la place ou l’enfant au passe temps douteux était présent. Au fur et à mesure que le temps passait, la panique s’installait peu à peu dans les environs jusqu’à ce que des hommes armés jusqu’aux dents firent leur apparition à une distance peu importante du centre du village. Suivant instinctivement le courant, le gamin à la chevelure obscur finit au final par rejoindre ses parents ou tout du moins ces pseudos géniteurs qui ne prenaient même pas garde de l’état de santé mental de leur propre fils.

Alors de ce qui était qualifié de « pirates » par quelques fuyards se rapprochaient dangereusement de la foule, pillant les bâtiments, tuant les hommes, assouvissant leurs besoins naturels sur les femmes, brûlant tout sur leurs passages, Genesis Iruama trébucha sur un cadavre se trouvant sur sa course pour n’ensuite voir son fin genou droit brutalement fracassé contre le sol du chemin constitué de divers minéraux. La douleur s’amplifiant d’une telle façon à lui retirer la possibilité même de se déplacer par ses propres moyens, alors que le sang s’écoulait abusivement le long de sa jambe, le jeune blessé implora l’aide de ses parents en faisant usage d’appels de détresse, de cris, de pleurs et tout ça en vint. Ce paternel qui était censé symboliser le protecteur de la famille, cette mère qui dans toutes les belles histoires contés dans les livres allait jusqu’à sacrifier sa propre vie pour sauver celle de son enfant sans ne montrer l’ombre d’une hésitation, ces parents récompensés de mille et un éloge ignorèrent la demande d’aide de leur propre fils. Ils devaient probablement penser que risquer leurs vies pour un gosse si dérangé n’en valait pas vraiment la peine.

Pas de bol, malgré cette sage décision, ces ingrats se virent ôter leurs vies par d’autres barbares les ayant pris de revers. Les prunelles sombres aveuglés par le sentiment de trahison, de haine, d’injustice, ceux-ci fixèrent le trépas de ses géniteurs sans ne laisser paraître sur son visage l’ombre d’un quelconque regret à l’égard de ces traîtres pour n’ensuite se diriger vers les pupilles de l’un de ces cruels envahisseurs. L’intensité des émotions s’installant dans la chair du gamin atteignirent un stade si important que celui-ci ne tarda à s’engouffrer dans les ténèbres de l’inconscience. Au fond, l’arrivée de sa fin lui importait peu, cela faisait bien longtemps qu’il n’avait plus sa place dans ce monde pourri et hypocrite. La surprise fut grande lorsqu’il se réveilla pour la première fois dans ce qui pouvait être comparable à des cellules au vue de l’omniprésence des barreaux dans la pièce sale et puante. Il n’était d’ailleurs pas l’unique survivant ! Effectivement d’autres gamins du village qu’il connaissait de visage étaient présents à ces côtés se noyant dans leurs propres larmes. Une vision bien pathétique en somme. Aux premiers abords, il avait été emprisonné par les pilleurs sans doute dans le but de le revendre en tant qu’esclave. C’était fort probable, c’était surtout rentable …

Des mois défilèrent ou les captifs étaient traités comme des animaux jusqu’à ce que le navire ne se fasse prendre d’assaut par les marines. Le scénario fut simple, les pirates se firent massacrer, le « bétail » libéré, et tout est bien qui finit bien. C’était une très belle histoire en effet, bien que la mise en scène se soit tout de même trouvé assez sanglante voir totalement cauchemardesque instaurant un nouveau traumatisme dans l’esprit naïf des petits sinistrés. Placé dans un orphelinat, sa nature de sociopathe l’empêcha d’être pris sous l’aile de nouveaux parents. Il y resta jusqu’à ses 17 ans ou il se décida au final à intégrer la marine. Il y apprit là-bas diverses techniques de combats sans non plus s’imprégner de la mentalité de ses compagnons d’armes. Il avait d’hors et déjà perdu définitivement ses illusions, son optimisme quant à la société et à tout ses bienfaits. Avec une mentalité digne du parfait criminel, il était évident qu’il n’intégrerait point le grade de lieutenant, de commandant ou autre poste visant à se tenir à la tête de tout un régiment. Les hauts dignitaires de l’armée étant de fins stratèges, ils attendirent trois ans avant de ne proposer à la jeune recrue le poste d’assassin du gouvernement. Acceptant bien évidemment à cette généreuse proposition, c’est avec plaisir qu’il accomplit son travail. Un peu trop d’ailleurs …

Devenant complètement accro à son job, les effusions de sang devenant progressivement la source de son bonheur personnel, ses missions d’assassinats devinrent très rapidement insuffisantes. Peu à peu il commença à faire quelques débordements, à faire plus que ce qui était demandé à l’origine jusqu’à ne finalement assassiner un camarade sans réel motifs lui valant la peine de perdre son boulot des plus passionnant. Encore si ce n’était que ça mais en plus il se fit activement rechercher par ses anciens alliés sans compter le fait qu’après avoir perdu la légalité de son principal passe temps, Genesis s’attaqua par la suite à une multitude d’innocents ne l’aidant pas vraiment à se faire oublier. Un fou furieux était maintenant en cavale dans la nature, aux abris tout le monde !


• Test RP :
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