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| Sujet: Akase Taihai, le Bâtard Sacré. Lun 27 Sep 2010, 17:41 | |
| Première partie
• Avez-vous lu les règles ? Je trouve Davy soooo sexy, mais Kamakiri encore pluuuus ! • Comment avez-vous découvert le forum ? Top-Site • Une suggestion ? Aucune • Simple curiosité, si vous aviez un Fruit du Démon, lequel aimeriez-vous avoir ? Bien-sûr, vous n’êtes pas obligé d’en vouloir un… Je préfère les surprises ! Seconde partie : le personnage.
• Nom et Prénom : Akase Taihai. Son prénom même étant celui de la Dégénérescence à laquelle s’est laissé choir ce Tenryuubito qui s’est accouplé à une pirate. • Âge : La vingtaine • Rang/Grade : Marine • Métier(s) : Vigie • Arme(s) : Un fusil sniper • Équipage : Aucun pour l’instant
• Description :
Toison d’Ebène trônant sur un visage blanchâtre. Tout son être semble représenter cette funeste noirceur qui compose son physique. En effet, depuis sa chevelure mi-longue, jusqu’à son habit n’est composé que du masque de la Sorgue. Sculpture d’argile, son visage manque d’expressivité, restant d’une incroyable froideur, nul sentiment ne peut transparaître sur pareil modèle. Ce Vénal Démiurge aux traits d’une finesse gracieuse est dénué de l’Eclat Coruscant pouvant embraser la magnificence d’un pareil faciès. En effet, ses yeux semblent vides, noirs, illustre représentation de ses mœurs marmoréennes. Ses lippes aux plis continuellement maussades n’ajoutent en rien à l’allure de ce Sinistre Palladium. Rien en lui représente cette étrange sympathie, un quelconque bien être, nul ne l’a vu accordé son sourire à la moindre femme, il est d’une beauté glaciale. Nonobstant ce regard froid, on ne peut dénoter qu’une certaine touche bleutée, semblant démontrer qu’il n’est pas encore totalement avili par l’opacité de ses desseins.
Cette façon de redresser son menton d’un air hautain, ses commissures pointant toujours avec dégoût et son regard dardant son interlocuteur ne prêtent que peu à le trouver avenant. Dantesque Spadassin n’ayant que trop longtemps traîné dans cette obscurité qu’il encense. Cet air infatué donné par son visage écœuré par l’existence d’autrui majore son physique de bellâtre.
Représentation même de l’ectoplasme via cette peau blafarde et cette apparence sans la moindre substance. Ce corps à l’allure ténue, filiforme. Dénué d’une carrure pouvant faire de lui un Soudard Considéré, il tient pourtant ces Dantesques Personnes de part cette agilité et cette légèreté dans le pas qui lui semble caractéristique. Le Spectre qu’il est, englué dans cette Antique Caban désuète. Il erre sur les mers, semblant être sans vie, représentation ésotérique d’un humain, allégorie même de l’utopie, il semble si présent et à la fois si absent. C’était comme si le monde pouvait faire sans lui, mais qu’il avait toujours l’art pour attirer celui-ci à lui.
Certains êtres peuvent sembler asséchés par une vie au grand air, à se battre continuellement, mais cet Illustre Malandrin est comparable à un être dont la moindre ingestion d’un aliment de cette terre ne peut se faire que par nécessité, avec force de dégoût. Il est consumé, mais pourtant si vif. Il n’est pas cadavérique, mais il n’a guère plus de marge avant de l’être. Semblant être un jeune enfant en manque de nourriture et commençant seulement à se muscler, on peut noter sur cette musculature fluette une quantité de sceaux assez conséquente. Si son visage semble avoir été épargné, c’est pour le bien du Secret. Nul ne doit voir sa main, avant qu’il n’ait exactement évalué ce que possède ses adversaires, afin qu’il ne puisse que bluffer, tromper cauteleusement ceux qui pensent pouvoir jouer au même niveau que le sien.
Car après tout, la vie n’est qu’une longue partie de Poker où l’intérêt est de ne jouer lorsque l’on possède la Quinte Royale.
Noirceur physiologique autant que psychologique, cet Esotérique Démiurge ne semble que se complaire entre les décadents bras de la Sorgue. On ne peut lui nier le pêché de la luxure autant que de la paresse, cet Altier Quidam se perdant en de nébuleuses activités auprès de chimères bien plus noires que sa propre âme. Cet Hérétique Anachorète se piquant de vivre au-dessus de la société de part cette Quête du Parfait qui le tourmente depuis son jeune âge. Mais on ne peut se gausser de cette utopie, car on ne connaît que peu les véritables capacités intellectuelles de ce Sombre Palladium qui semble toujours avoir des cartes dans sa main.
Cet Hérésiarque, poison latent au sein même de sa famille ne semble pourtant n’avoir aucun fiel pour ceux de son sang, mais les racines du mal dans lequel il tente de se fondre étant si profonde que l’on ne peut réellement en saisir les objectifs. Il est sournois, malveillant, trompeur, être chafouin dont il faut se méfier en toute occasion et dès l’instant où l’on pense qu’il ne vous a jamais remarqué. Allégorie du Malin, il se joue de ses adversaires avec tant de désinvolture que l’on ne peut douter d’une vaste manigance dont ses antagonistes ne sont que de simples pions et où le monde est le Roi.
Car là est son unique objectif, tel un pèlerin, depuis son plus jeune âge et avec une patience particulière, il s’est élancé dans la conquête du titre de Créateur. Le Divin et ses tours du Destin ne semblant qu’avoir peu d’influences sur Taihai qui rebondit sur chacun d’eux, laissant l’impression qu’il est toujours avantagé par les multiples embûches que l’on tente de placer sur son chemin. Il est malveillant, mais nul n’ose réellement l’assassiner au sein de sa maisonnée, car il n’a pas encore démontré sa nature de vipère, de transfuge.
On ne sait réellement combien de visages il peut posséder, mais son jeu d’acteur ne semble avoir aucune limite, cette attitude hautaine, à la limite de l’impériale n’est jamais qu’un masque qu’il s’impose pour faire fuir les plus marri. Seuls ceux qui osent l’accoster sont aptes à déterminer une partie de sa nature, mais tout n’est qu’illusion. Car jamais, il ne montrera sa Primitive Nature qu’à ses antagonistes les plus puissants, faisant tomber les masques pour mettre à jour sa démence. Son aliénation pouvant prendre appui sur son intellect ainsi que sur cette volonté sans limite, le poussant jusqu’à anéantir son corps pour un objectif, jusqu’à mourir d’inanition et de déshydratation pour la réussite d’un sceau.
Et il ne se gène en aucun cas de le dire : il est apte à posséder tout ce qu’il désire. Surmontant cette paresse intellectuelle pour l’obtenir et ce dans les plus brefs délais. On peut en certain cas le comparer à un jeune roitelet ne faisant que s’étendre en multiples doléances, mais ce n’est à nouveau qu’une image, bien fausse, pouvant être inquiétante.
Après tout …Les défenseurs du bien n’ont jamais imaginés que des ténèbres peu opaques.
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