Sanatõ Denshi [Validable]

Première partie
• Avez-vous lu les règles ? Le code est bon Signé Jason
• Comment avez-vous découvert le forum ? Les bisounours m'ont guidé
• Une suggestion ? Nada
• Simple curiosité, si vous aviez un Fruit du Démon, lequel aimeriez-vous avoir ? Un truc bien délire O.O


Seconde partie : le personnage.

• Nom et Prénom : Sanatõ Denshi
• Âge : 23 ans
• Rang/Grade : Pirate/Cuisinier
• Métier(s) : Cuisinier
• Arme(s) : Dague/Sucette avec des embouts pointue
• Équipage : En cours de recherche d'un équipage !

• Description :

~ Mentale ~

Feignant est un de mes aspects principaux qu'on remarque le plus rapidement. J'adore être sur mon fauteuil en cuir en train de boire un cocktail. J'adore la vie où seul l'actualité compte, je n'ai pas à m'occuper du futur. Pourquoi s'occuper de mon destin alors que seul le présent compte. Quand ma mère voulait que je fasse mes devoirs pour lundi, je les faisais le même jour. Vous savez, avoir un but peut engendrer trop de courbatures et trop de fatigues . J'ai un objectif mais je le fais tranquillement sans me soucier de ma destinée. Après il y a quelques fois où je fonce pour accomplir mon but plus rapidement, mais il y a toujours une période de repos après.

La classe est une des choses que je soigne le plus. Je veux qu'on croit que je suis une personne d'un haut niveau. Je marche dans la rue, on remarque directement trois choses lorsqu'on m'aperçoit: Ma dégaine provocatrice, mon regard sérieux et mon sourire de gamin. j'aime qu'on me regarde, je ne sais pas pourquoi. Vous savez la classe c'est tout un art: C'est comme copier parfaitement la Joconde, c'est impossible. Paraïtre comme un homme chic c'est ça, on ne peut pas la copier, on peut seulement la créer. J'ai fondé la mienne et elle se définit en trois mots: La dégaine, le regard et le sourire. une personne qui a la classe.

Ma gaminerie, un trait de caractère que j'ai gardé de mon enfance. Je suis toujours là pour faire des bêtises. Tout seul ou avec quelqu'un. J'adore tirer ma langue aux gens, baisser les jupes des jeunes femmes pour regarder leur culotte ou encore donner de mauvaises directions aux visiteurs. Je suis là pour faire profiter le monde de mes bêtises loufoques.

Les friandises , c'est ce que j'aime le plus dans ce monde. Je ne pourrais pas vivre sans manger une bonne barbe à papa ou une plaquette de chocolat. Je pourrais même me battre pour une sucette au coca cola. Il faut faire attention à ce que vous touchez quand je mange, surtout aux sucreries. Une fois quelqu'un a voulu me voler un bonbon, je lui ai scindé la gorge pour son acte. Je n'aime pas qu'on touche à ma nourriture surtout si ce sont des sucreries.

Avant que vous n’ayez peur de me voler une confiserie, je ne suis pas pareil avec tout le monde. Je suis assez social mais si dès le premier regard je ne me sens pas bien avec la personne, vous pouvez dire au revoir à toutes les bonbons que j'aurais pu vous donner. Je suis sympathique avec les personnes que je m'entend bien.

Je ne serais jamais une personne parfaite, ce n'est pas intéressant d'être Apollon ou ce genre de personnage. Ce n'est pas une chose que je cherche, Je suis comme je suis et et advienne que pourra. Naitre sans imperfection, c'est une chose qui me déplairait beaucoup. J'aime avoir des défauts, ça m'aide à avancer dans la vie et ça fait de moi une personne aux qualités et défectuosités propres à moi.

~ Physique ~

Maigre est un mot qui me va bien, je suis une personne qui mange beaucoup mais qui ne grossis pas. Je n'ai jamais compris pourquoi je ne grossissais pas, on me dit toujours " Tu mange tout ça et tu ne grossis pas " J'en sais rien. Les seules sports que je fais c'est dormir et me battre quelques fois et ce n'est peut-être pas des sports pour vous. Je ne cherche pas à être gros mais prendre un peu de kilo sinon je vais devenir un squelette.

Ma taille est assez normale, j'ai de la chance de n'être pas trop grand. Je ne raffole pas de la hauteur, c'est une chose que je déteste beaucoup. J'ai honte de le dire mais j'ai peur de la grandeur. C'est bien à cause de ma peur de l'altitude que je n'ai pas voué ma vie en temps que Vigie sinon je serais dans la mouise.

Les muscles, un mot presque invisible sur mon corp. Je ne suis pas quelqu'un qui s'acharne pour avoir une apparence herculéenne. Le combat en jouant surtout sur la force, ce n'est pas mon truc. Faire des pompes, des abdominaux, c'est des exercices que je ne fais jamais même si on me le demande. Les seules exercices de ma vie qui pour moi sont des sports, c'est dormir et manger des sucettes. Pour vous, ce n'est pas des activités sportif mais pour moi c'est un jeu comme tout les autres. Vous allez me dire que le foot est un sport alors qu'on suit une balle comme un chien. Moi, je ne fais pas de sport débile, je me repose et je mange le plus sucre que je peux.

Je suis roux et fier de l'être. Il y a des personnes qui seront capable de me bruler ou encore de me couper la crinière mais moi je n'ai pas envie qu'on me brule ou coupe ma toison flamboyante, j'y tiens. Ma chevelure rousse est la seule chose que j'entretiens. Je la brosse, je les lave une fois par jour, il faut bien pour avoir des cheveux propres et classes.

Mon apparence, cela dépend de mon morale. Je cherche à me trouver un style par rapport à mes sentimens que j'ai quand je m'habille. Je vais mettre du noir quand je suis de mauvaise humeur, du rose barbe à papa quand j'ai envie de manger des barbes à papa ou du jaune canaris quand j'ai envie d'adopter un canaris. Pour faire simple, je porte souvent des couleurs flash, c'est surtout pour qu'on me regarde. Des t'shirts, des chemises, des pulls, des sweet à capuche, je porte de tout tant que ça me va et que je trouve ça beau. Pour les bas, je porte souvent des habits légers pour ne pas avoir chaud, je déteste la chaleur.

Les couvres-chefs, j'adore ça. C'est obliger que j'en ai un sur la tête. Pour la plupart du temps, je porte un bonnet de n'importe quelle couleur avec un énorme pompom. Les borsalinos, les bandanas, les chapeaus de cowboy et même les bonnets péruvien. J'ai déjà porté tout ça au moins une dizaine de fois. Sans chapeau, c'est comme si j'étais nu et je n'aime pas être nu.


• Histoire :

Une pluie déferlante, je marche sous cette tempête. Je ne suis qu'un cuisinier. Les cheveux mouillés, les mains dans les poches, un sourire aux lèvres, seul mon but sait où je vais. Un cardigan noir, le poignard à la ceinture, je suis devenu un pirate avec un but précis : Conquérir le monde. Pourquoi suis-je née ? Une si belle partie de ma vie.

Sanatõ Denshi est mon nom, je suis née il y a 23 ans. Une grande pancarte avec des couverts pour souhaiter la bienvenue aux visiteurs, de nombreux restaurants et d'excellents cuisiniers, on est bien à Cook' Town. L’île où nous servons les meilleurs plats de la planète, c'est ça la classe. Je suis née dans cette île de cuisinier, mes deux parents gèrent un petit restaurant à base de viande. C'est super bon ce que fait ma mère, et vous savez quoi ? Je vous invite à manger chez moi la prochaine fois qu'on se voit. Mais mon histoire avant tout. Ma mère est la cuisinière de la maison, mon père s'occupe d'acheter les produits frais, je vous préviens tout de suite, mon père est une vraie femmelette. Il a peur de tout. J'ai eu de la chance d'être élevé avec les couteaux de ma mère. Je viens de naitre là, c'est pour plus tard l'apprentissage à la cuisine. Avant de pouvoir vous raconter mon apprentissage, je vais vous raconter mes années à l'école. L'école c'est trop nul, faut pas y aller. À l'école, j'étais le genre d'élève à amuser la classe: Je soulevais les jupes des filles pour voir leur culotte, je tirais la langue à ma professeur et je mettais des vers dans les casse-croutes de mes camarades. Même si j'étais qu'un petit gamin, j'aimais les belles formes. Ma professeur était sublime, de beaux contours et une si belle chevelure que même toi tu ne pourrais même pas t'empêcher de saigner du nez. Ne parlons pas de ses culottes et ses jupes si sexy. J'étais tombé amoureux de cette jeune femme. Pour résumer tout ce que je viens de vous dire, j'étais le pitre de la classe. J'avais toujours un ami avec moi pour faire toutes ces bêtises, il s'appelait Kame. Un gosse que j'adorais, toujours là pour mettre des vers dans la nourriture des autres, mon meilleur ami en somme. Il venait jouer avec moi à la fin des cours, on jouait souvent au pirate. Avec l'imagination on pouvait tout faire, les arbres étaient des pirates et les branches des sabres. J'étais le capitaine et lui mon bras droit et armés de nos sabres, on se battait contre l’envahisseur. Un très bon pote. Même si après quelques années formidables à ces cotés, je devais maintenant apprendre la cuisine avec ma mère.

Ce fut la meilleure époque de ma vie. Je m'amusais, je pouvais faire des bêtises et j'étais trop proche de l'imagination. Je devais voir la réalité, Je devais avoir un avenir dans ce monde et la seule voie que je pouvais atteindre était la cuisine. L'apprentissage de ma mère pour devenir un cuisinier.

Je n'avais aucun avenir dans les grands métiers, je n'aimais pas travailler sans être libre. La cuisine était parfaite pour moi. Au côté de ma mère, je pouvais devenir un cuisinier talentueux sans pouvoir quitter mon imagination et la réalité. Faire des plats seulement avec de l'imagination sans pouvoir avoir un livre de cuisine près de moi. Ma mère m'apprenait à manier le couteau pour pouvoir couper la viande ou le poisson de façon à qu'il ne soit ni trop gros ni trop petit. Elle avait sa propre façon de couper, attrapant son couteau d'une façon bizarre, elle commençait par couper de gros bouts puis elle les divisait pour qu'il soit tous de la même taille. J'aimais voir ma mère faire la cuisine, elle faisait de bon plats. Elle m'avait préparé un calamar au four pour le jour de mon anniversaire, c'était délicieux. Je voulais tellement avoir le niveau de ma mère à cette époque, c'était comme un défi. Au fil de l'apprentissage, je commençais à préparer les plats moi-même. Je prenais quelques fois le restaurant tout seul. Mon père me rapportait des ingrédients frais et je pouvais commencer à cuisinier pour les clients. Une fois, j'avais fait des yakitoris accompagné d'un riz caramélisé, un pur délice. Je devenais meilleur que ma mère. À cet époque-là, je commençais à donner une bonne allure au restaurant.Je l'avais complètement restauré, un palace. C'était merveilleux, mon rêve prenait enfin vie. Je voulais avoir mon propre restaurant, ma mère me l'avait légué lorsque je commençais à être connu pour être un très bon cuisiniers. Mon rêve s'arrêta un jour. Lorsque un groupe de marine défonça la porte, ils entraient sans s'excuser et se posaient sur une table chacun. Je ne pouvais plus recevoir de client avec ces gens-là. Je ne pouvais rien faire à cet instant de ma vie. Si j'avais eu le niveau de maintenant, je leur aurais bien mis une petite branlée. Je devais les servir sans quoi je pouvais me faire tabasser, je leur servais leur plat et ils partaient sans payer. C'est à ce moment-là, je n'aimais pas les marines. J'avais une certaine haine contre eux, je ne voulais plus m'amuser. C'était la première fois que je voulais me battre contre quelqu'un, je n'aimais pas trop cette émotion. Je les laissais partir de cette île sans broncher un mot. Je ne pouvais plus vivre dans ces conditions-là. Je devais partir de cette île pour poursuivre cette haine, je laissais mes parents avec le restaurant dans l'espoir d'avoir le plus grand restaurant au monde. Le sac à la main, je m'en allais dans les mers avec un bateau de pêche que j'avais volé.

C'était la première fois que j'avais rencontré cette émotion. La haine envers un être humain, ça m'allait bien. Au début de ma carrière de voyageur, je ne voulais pas être pirate, mais une personne a changé ma vie.

Une île paumé, mon début d'aventure commençait dans une pauvre île avec quelques villages dont la civilisation n'était pas avancée. Je ne cherchais pas une grande aventure, mais être avec les poules et les cochons, ce n'était pas mon truc. Avant de pouvoir continuer mon périple, j'avais envie de me la couler douce et surtout trouver le pouvoir du fruit que j'avais avalé. Avec l'argent que j'avais gagné avec le restaurant, je vagabondais dans les bars, sirotant un petit verre. Je ne prêtais pas attention à la découverte de mon fruit. Je vivais ma vie de vagabond. Je péchais pour me nourrir grâce aux équipements de pêche sur le navire volé. Vagabondant dans cet île, je cherche à trouver la puissance pour conquérir ce monde sans savoir où je vais. C'est la vie d'un pauvre itinérant.

Petit Up !

Rebienvenue, après lecture je n'ai rien relever d'anormal, tu es désormais validable ainsi je te souhaite bonne chance dans l'attente d'un admin.

Fiche abandonnée car il a finalement décidé de garder son vieux perso (à savoir Mikai), archivée...