Jaag Akanawa [en cour]

Tokei Tokei No Mie : (Paramécia du chrono) Ce fruit permet de lancer des comptes à rebours sur des objets inanimés de temps variable (en chiffres digitales pour plus de fun). A la fin du compte à rebours, l'objet explose. Plus le temps sur le compte à rebours est élevé, plus l'explosion sera grande, l'utilisateur choisi la manière dont son compte à rebours explose. L'explosion ne peut être supérieur à destruction de quatre maisons peu importe le temps du compte à rebours. De même, le fait d'en créer plusieurs diminuent l'intensité de l'explosion. A haut niveau, l'utilisateur permet même d'utiliser ses comptes à rebours comme mine

Jaag Akanawa. Il n'est pas une homme que l'on pourrait qualifier de "beau". Et pourtant, et pourtant. Il y a ce petite quelque chose dans sa posture, dans l'ambiance, dans la lumière de son visage qui attire le regard et les questions. Surtout les questions. Sa tranquillité, son petit sourire en coin, le fait que l'on ne voit jamais ses mains perdu à l'intérieur des manches trop grandes et et trop sales de son trop large imperméable grisâtre dérange énormément ses interlocuteurs. Jamais l'on ne sait à quoi s'attendre. Si il va rire, hurler, se battre ou bien tout simplement répondre gentiment. Il ne parle jamais pour ne rien dire, et sa voix au début sucré, mielleuse, laisse toujours un arrière goût de venin.

Son visage fin comme celui d'un serpent est couronné de cheveux noir, à l'image d'une nuit sans Lune. Tombant comme la pluie sur ce faciès inquiétant de part ce manque d'on-ne-sait-quoi, il est rare de voir les deux yeux de Jaag en même temps. comme dis précédemment, son regard est d'une vert automnale. Perçant, parfois fuyant, il garde toujours une intensité, une chaleur et une lueur qui rend la présence du chasseur de prime encore plus gênante. Toujours à fixer celui, celle ou bien la chose en face de lui, ses paupières se ferment doucement pour se relever en un éclaire, éclaire illuminant un visage qui s'endort à chaque battement.
Sa peau lisse, sa bouche neutre ou souriante, non. Il n'est pas resplendissant de joie mais plutôt sombre. Un sombre paradoxe entre la lumière de son regard, et les ténèbres de sa chevelure camouflant bien souvent ce visage assez inexpressif.
Un cou fin, un corps musclé par des années d'inactivité, notre cher ami porte toujours les même vêtements. Toujours la même chemise sombre et troué, toujours la même écharpe autrefois blanche, toujours le même imper' tailladé de poches elles-mêmes remplis de tout et n'importe quoi. Pantalon boueux et chaussures aux talons claquant, ses arrivés son pourtant silencieuse. Toujours dans l'ombre, à moitié camouflé, ce type est un vrai fantôme. Il vient, il part, et l'on ne s'en rend même pas compte. L'odeur. Il n'a même pas d'odeur. Même son hygiène de vie déplorable ne lui apporte rien. Rien d'autre que l'absence.

Psychologiquement, Jaag est un paradoxe à lui tout seul. Presque schizophrène, il existe deux personnes dans ce même corps. Il a ce Jaag, gentil, polie, qui n'embête personne pour ne pas être embêter. ce petit Jaag qui regarde passer les femmes en s'imaginant à leurs cotés, qui fume un peu, qui bois beaucoup, qui rit parfois ! A plein coeur, plein poumons ! Une personne normal, qui combat un spleen à l'aide d'espoir et de verdure. Oui, ce Jaag là est à la limite de la dépression. Sans argent, sans amis, pourtant, il survit pour croire en l'avenir. Anarchiste sur les bords, anti-Marines parfois, il reconnait tout de même que, ces incapables sont bien utile. ces temps-ci moins qu'avant, mais tout de même. Ce Jaag qui aide parfois les vielle dames à traverser, qui n'aime pas voler ou faire violence gratuite. Un peu de tout dans sa tête, un immense mélange de musique et de lecture l'a fait devenir quelqu'un de sympathique, même lors de ses petits sourire vicieux. Jovial, adorateur de femme, c'est un bon type qui aime les choses simple de la vie. dont la chopine.
Et puis il y a l'autre. Celui du buisness et du combat. celui qui tue froidement, qui s'affirme. Il y a le Jaag truand. Celui-là ne fait pas dans la dentelle. Sans hésitation vis à vis de la baston, il est armé d'un calibre argenté caché sous le long manteau et le sort souvent pour montrer qu'il ne rigole pas. Faut pas gonfler Jaag Akanawa en pleine transaction. Presque sadique, il n'hésitera pas à user de toutes les méthodes imaginable et inimaginable pour avoir l'argent de ses transactions, ou autre chose. Sans foi ni loi, sans peur ni crainte, on ne contrarie pas un homme comme lui lors d'une vente.
"Pas de bonheur sans peine, ni de vie sans mort. Je vends des armes qui tuent, pour que derrière pousse la germe de la renaissance."